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L’ultime : une question sociale totale / Sous la direction de Bernard Troude / Vol.21 N.3 2023

L’ultime au cinéma : l’impact des images sur nos aventures humaines

Douha N’Sira

magma@analisiqualitativa.com

Université de Sfax, Arts et Métiers, Université de Tunis, Doctorante Laboratoire de recherche en Arts Plastiques Cinéma et Image.

 

Abstract

Dans mes recherches sur cette philosophie, je me suis rendu compte que les grands écrivains du cinéma et de l’image, de la philosophie, de la sociologie et de l’anthropologie, de la psychologie et de la neurologie, et les critiques apportent tous des réponses aux questions du genre. Qu’est-ce qu’un film, à quoi sert telle ou telle image, et une explication concrète de comment filmer tel ou tel motif ici et là. Ce qui rend cela important pour la poursuite de la recherche et de l’expertise, c’est la lecture des images et la capacité de comprendre l’espace créé par le magicien, où les images sont vues et intégrées dans des scénarios, et de lire ces représentations pour comprendre le magicien.

 

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FAR–N–00092–SG: Negley Farson, Behind God’s Back, Victor Gollancz, 1941. Les biblio-graffitis de Roy Gold (1918-2008), artiste outsider de sa collection de livres. Par Nicholas Jeeves (designer, écrivain et professeur à l'école d'art de Cambridge), in D. Graham Burnett éditeur de la série Conjectures, Revue du domaine public (Mai, 2018).

Introduction

Dans mes recherches sur cette philosophie, je me suis rendu compte que les grands écrivains du cinéma et de l’image, de la philosophie, de la sociologie et de l’anthropologie, de la psychologie et de la neurologie, et les critiques apportent tous des réponses aux questions du genre. Qu’est-ce qu’un film, à quoi sert telle ou telle image, et une explication concrète de comment filmer tel ou tel motif ici et là. Ce qui rend cela important pour la poursuite de la recherche et de l’expertise, c’est la lecture des images et la capacité de comprendre l’espace créé par le magicien, où les images sont vues et intégrées dans des scénarios, et de lire ces représentations pour comprendre le magicien. Mais que sont les images ? J’utilise la perspective, celle d’Umberto Eco qui me démarque de tous les autres avis, revues, et autres articles professionnels.

Dans son court texte de 2017, Reconnaître le faux, on sent la vérité sur l’image donnée et le film réalisé et interprété. Et quelles que soient les qualités esthétiques et techniques. Il s’agissait pour moi de comprendre que certaines phénoménologies de l’image sont une forme de mensonge, et que des cas dits secondaires et recevables sont cités dans la fiction narrative. Il n’y a pas que la fiction de l’histoire, telle que décrite dans le récit du scénario, qui est mystique. Le spectateur doit découvrir l’intention et l’émotion en visionnant des scènes assemblées à partir des plans du réalisateur par le monteur.

Il crée donc sa propre séquence. Évidemment pas la même pour tout le monde, et surtout différente des intentions du créateur. L’image du film propage-t-elle des mensonges ? Le réalisateur/créateur prétend que ce que l’image dit est la certitude de l’intrigue formulée, exposant l’incrédulité, par exemple, invite la personne à participer à sa fiction. Gangster, il se fait passer pour un meurtrier et cherche à participer à la fiction. De la science-fiction.

Dans toute fiction narrative, la falsification n’est pas prise en compte pour que quelqu’un ne le croie pas ou pour nuire à la situation. Le réalisateur/créateur construit son monde possible dans son récit et demande au lecteur/spectateur/spectateur de devenir complice de l’image mentale qu’il se crée lui-même. Ensuite Intervenir ensuite pour lire une vidéo écrite par Gilles Deleuze. Animaux qui parlent, paysages reconstitués, œuvres de magie, gestes improbables, humainement impossibles... Les jeux de lumière depuis leur introduction au Pré-cinéma, les progrès du Cinémascope, et enfin les films à 360° font naturellement de la fiction narrative qui a besoin du signal dont elle a besoin pour fonction.

À cela, quel est l’impact du cinéma ?

Pour commencer, évitons les conséquences du cinéma : le cinéma en général, à quelques exceptions près, reste une industrie relativement polluante. Quant à cette pollution : le sera-t-il atmosphérique ou simplement idéologique ? En effet, le cinéma ressemble à de nombreux secteurs industriels et financiers.

Les convergences du film pendant lequel Arts (créations) et Industries (travail/salaire) font placer en arrière-package des éléments ordinairement rhétoriques des impacts nocifs environnementaux. Bien que l’on doive au film le défi à tournesol de quelques-uns nombres de catastrophes environnementales qui seraient à cause la survie excepté le défi en ciné-clubtographe des dégâts. Le film devient par ces courbes de démonstrations la caution plantureux des faits sociaux. Le socialisme noir et les modes de développement des sectes, les attentats possibles et les malversations financières et intellectuelles sont les scénarios proposés pour dénoncer les faits réels.

Une autre question est : Pourquoi le cinéma est-il devenu une réalité sociale ?

Toutes les questions sont le résultat d’une observation : les différences de genre, les différences ethniques, les capacités de leadership ou les limitations, tout cela constitue un mode de vie qui engendre dans notre société une répartition inégale du pouvoir entre les hommes et les femmes, entre une ethnie ou une autre, entre les gens dits normaux et les personnes handicapées. Surtout au cinéma et depuis le début du changement depuis un moment, la production de films est faite par des hommes selon la vision dite normale masculine de la société. L’inverse est sur le point de se reproduire entre la femme et l’homme.

Nous nous attendons à ce que le cinéma aille au-delà d’une seule résolution dans le système. A travers le son, les images, la composition du film et il nous donne une imitation parfois très proche de l’expérience de vie par la structure de l’histoire, de la composition de l’histoire se transforme et s’adapte en une image cinématographique. Le cinéma est ce qui permettra aux techniciens sous la direction du réalisateur de mettre le public recherché dans une situation précise mais prévisible, dans un monde d’emblée envié ou rejeté. Obtenez des films d’auteurs d’avant et d’aujourd’hui : le but est toujours le même en choisissant de s’immerger dans des histoires fictives et dans notre propre monde tel qu’ils le voient, même si des libertés parfois considérables sont exercées.

Les scénarios chanceux et la cinématographie sont enseignés dans les écoles et les universités. Le cinéma nous affecte en nous enseignant tant de solutions possibles dans la vie à la fois. Le public de tous âges doit savoir faire et initier la distinction entre la réalité et le potentiel des possibles, comme ceux de la SF ou des films à effets spéciaux. Le manque de critiques de certains téléspectateurs, qui rassemblent des richesses d’images, reste l’un des problèmes de qualité cinématographique. C’est la question des publics quel que soit l’âge et évidemment dans des domaines complètement ou presque complètement différents de la fiction. Il semble bon de comprendre qu’un cinéma bien exécuté et bien livré - censuré ou non - reste une forme d’exploration visuelle et mentale de domaines possibles de réaction humaine, de personnes, de champs lors de la lecture d’histoires de fiction qui auront un impact sur les vies futures. la vie étudiée ou la vie censée être pour un monde futur.

Certes, un exemple frappant de média réussi et influent est l’expansionnisme du libéralisme américain à travers son cinéma Nous savons que cela joue un rôle importé dans le rêve américain et sa transmission à presque toute la terre en utilisant "Happy Ending" : il a persuadé, presque catéchisé, la société américaine, d’ériger les États-Unis en modèle à l’échelle mondiale.

Doit dire : une communication efficace est appréciée

A notre époque, des nations différentes et diverses ainsi que diverses religions monothéistes et avant cela des sectes ont profité de l’aura créée pour s’implanter dans une expansion pas toujours intellectuellement honnête. Pouvons-nous examiner l’industrie cinématographique pour l’influence que les films ont sur les téléspectateurs ?

En tout cas, c’est du ressort des sociétés de recherche et de recherche, qui appartiennent généralement aux sociétés qui sponsorisent les cinémas précités, et dont la conclusion est que la vérité est communiquée aux experts ainsi qu’aux experts de tout public. L’influence des films sur les téléspectateurs a été étudiée en permanence depuis des générations. Le cinéma - américain et désormais international - est vu comme une expression morale, visant à fédérer une société autour d’imaginaires partagés ; Elle est aujourd’hui considérée comme le principal moyen de diffusion des cultures internationales. Ces bénéfices des leçons de vie quotidienne filmées peuvent-ils être vus comme ayant un impact négatif sur une population ou un segment de public ? En effet, les premiers touchés seront les adolescents, les moins conscients du danger éventuel, et seront les premiers à être troublés par les méfaits de leurs actions à l’écran. Notamment ceux du cinéma, qui peuvent conduire à l’illégalité, à la démoralisation.

Les situations négatives ne se limitent pas aux adolescents car les qualités émotionnelles des situations seraient considérées comme précieuses par ceux qui sont psychologiquement fragiles ou faibles. C’est par leur reconnaissance des événements réels subis ou liés aux situations problématiques de leur famille, de leur quartier, etc. Tous ces types de films auront deux effets principaux sur la société dans son ensemble : positif ou négatif. Ceci sera pris en compte dans les analyses des effets émis et transmis par le cinéma. Les phénomènes affectant de la psychologie à la philosophie sont très répandus du fait de la lecture des images reçues.

Est-ce vrai ou sera-t-il faux avec la réalité actuelle ? Dans ces phénomènes influents, la violence n’est pas la seule à pouvoir traverser et quitter les écrans, cependant, favorable ou interdisant et changeant notre façon de consommer, s’accorde avec les débats autour de nos idées religieuses et politiques et donc de notre façon de penser. Surtout, quand on parle d’influence, dans certains cas cette idée est associée à l’utilisation de revendications, de rumeurs ou de gratifications qui peuvent être manipulées.

Faites-le bien. L’opération commence par la découverte de la vue d’une image. Ce regard fait ressortir nos sentiments et nos émotions selon notre état de santé mentale et de santé physique.

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